L’enfermement exerce isouvent le contrôle des corps et des esprits : il
a aussi pu prendre la forme d’un contrôle social et d’une mise à l’écart
de femmes considérées comme « difficiles » ou déviantes, notamment dans
le contexte des asiles psychiatriques.
Notre Prochaine LECTURE VIVANTE “Enfermement et Délivrance” invite à un parcours littéraire à travers des textes d’hier et d’aujourd’hui, d’ici et d’ailleurs, qui explore les différentes formes de l’ enfermement en mettant l’accent sur l’enfermement féminin : carcéral , psychiatrique, sensoriel, historique, social , culturel, religieux, confinement, relations toxiques, féminicides, mariages forcés, maladies, handicap, phobies, otages, exil, secte, déportation…Mais aussi sur ses aspect parfois favorables avec des textes où se profile le chemin de la délivrance dans le sens d'un dépassement, d’une émancipation, d’une libération .
12 décembre 19 H30
à la MAISON du LIVRE- 28, rue de Rome - Saint Gilles -1060
Vous serez accueilli.e.s au bar à partir de 19h mais à 19h30 précises les portes seront fermées jusqu’à la fin de la lecture à 20h 30
Notre Club de Lecture " Des Livres émois " invite à venir flâner au cœur de Forest dans un lieu stimulant, solidaire, en phase avec nos valeurs et nos objectifs : la Librairie Par Chemins, une petite librairie associative située rue Berthelot 116 à Forest . Animée par des membres bénévoles, elle propose une sélection de livres neufs et d’occasion, parmi lesquels nous nous réjouissons de nous réunir un dimanche par mois
Le Club c’est l'occasion de nouvelles rencontres car c'est un moment de partage avec toutes et tous, à tout âge, de 17h -18H30 pour échanger, partager ou découvrir ses coups de cœur littéraires.
Chacun.e. choisit de présenter un livre, ou simplement d’écouter, suivant son envie du moment :
"Ecouter lire pour (se)découvrir, se laisser guider, s'orienter ou se perdre »
Dimanche 30 novembre de 17h à 18h30
à la Librairie PAR CHEMINS - 116, rue Berthelot-Forest 1190
Entrée libre mais merci de confirmer votre présence : asblpasmoi@gmail.com
Pour
la première fois, une femme née en Asie a été distinguée par le Nobel
pour son oeuvre littéraire. Qui est celle dont six romans ont été
publiés en France ? Comment qualifier son style ? Son éditeur actuel,
Joachim Schnerf, et le précédent, Pierre Bisiou, qui l'a également
traduite, répondent.
Avec
Joachim Schnerf, editeur et écrivain
Pierre Bisiou, traducteur
Une
"prose poétique intense qui affronte les traumatismes historiques et
expose la fragilité de la vie humaine", avec une "double exposition de
la douleur, une correspondance entre le tourment mental et le tourment
physique, en lien étroit avec la pensée orientale". C'est ainsi que le
jury du prix Nobel de littérature a expliqué son choix ce jeudi dans un
communiqué.
Autrice
de poèmes, nouvelles et romans, Han Kang est devenue à 53 ans la
première Sud-coréenne et première femme née en Asie à remporter la
prestigieuse récompense. Et la 18e femme lauréate sur un total de 121
lauréats. Quand une minorité d'auteurs récompensés utilisent des langues
pratiquées en Asie, en Afrique ou au Moyen-Orient. "Je suis tellement surprise et honorée", a réagi auprès de la fondation Nobel celle qui venait de terminer de dîner avec son fils chez elle, à Séoul : "C'était une soirée paisible". D'ajouter : "J'ai
grandi avec la littérature coréenne, dont je me sens très proche.
J'espère donc que cette nouvelle sera agréable pour les lecteurs de
littérature coréenne et pour mes amis, écrivains et autres". Avant de recommander aux personnes qui souhaiteraient découvrir son oeuvre de lire son dernier roman Impossibles adieux (2023).
Nous avons justement interrogé l'éditeur chez Grasset de ce livre, Joachim Schnerf, et son co-traducteur avec Kyungran Choi, Pierre Bisiou, qui l'a également éditée jusqu'en 2019 aux éditions Le Serpent à plumes.
Son style
Pierre Bisiou évoque "une
écriture très intimiste, parfois douloureuse. On est à l'opposé du
style qui fonctionne le mieux en ce moment en Corée du Sud, les "livres
qui font du bien". C'est quelqu'un qui regarde les douleurs, qui
s'enfonce dedans et qui va le plus loin possible dans le sentiment, dans
l'émotion. Elle est vraiment sans concession sur ce plan là et presque à
se mettre en danger dans ce qu'elle écrit".
Celui qui connaît Han Kang depuis une dizaine d'années pense par exemple à Impossibles adieux et à ses "descriptions qui deviennent oniriques de la neige ou d'un oiseau". Avec "à
la fois une portée historique sur le massacre de Jeju, qui est un fait
historique, et s'y mêle, une histoire beaucoup plus intime d'une femme
qui se retrouve seule dans une maison, la maison vide d'une amie, et qui
qui est là pour essayer de sauver ses oiseaux. On est dans quelque
chose qui devient totalement onirique, lyrique et assez bouleversant".
Pour Pierre Bisiou, "son style ne change pas totalement" au fil du temps mais Han Kang "a
eu un passage par un livre très important - Blanc - qui est à la limite
de la poésie. Elle y interroge la couleur blanche tout en révélant par
bribes, de courts chapitres d'une page ou deux, une histoire personnelle
très, très douloureuse. Ce livre presque composé de fragments est une
pure merveille. On est vraiment à la limite entre le roman et la poésie
et c'est quelque chose de fort chez elle, un peu le cœur de son écriture".
Et plus globalement, le traducteur éditeur voit dans ces écrits "une
Corée vraiment très contemporaine qui s'interroge sur son passé. Et
puis, elle a aussi une voix féministe, sans être militante, mais une
voix de femme qui interroge aussi la société coréenne. Après, elle n'est
pas que le reflet de son pays. Elle est vraiment une grande autrice à
part entière".
Joachim Schnerf met lui aussi en avant la poésie de celle qui avait obtenu le prix Médicis étranger en 2023 et "sa façon de nous amener dans un sujet sans forcément que l'on voit les moyens qu'elle emploie". Avec "cette
attention portée à chaque détail de la nature, à chaque détail des
sentiments. Et on est complètement plongé là dedans, sans qu'elle ait à
commenter ce qu'elle nous raconte. Elle nous fait vivre de l'intérieur
ces moments terribles pour elle et pour la Corée du Sud".
Le
directeur éditorial de chez Grasset a rencontré Han Kang à Paris comme à
Séoul, où il est allé la voir en septembre dernier. "Nous avons passé pas mal de temps ensemble, raconte Joachim Schnerf. C'est
une personne très discrète, elle n'aime pas beaucoup la lumière et en
général elle évite le public, la foule. Et ce prix Nobel va être une
vraie épreuve pour elle. Je ne sais pas comment elle va gérer les
prochains mois. Elle connaît le jeu de la promotion, elle fait des
voyages pour cela, mais elle n'est pas forcément à l'aise à la
télévision. Elle préfère rester chez elle, avec son fils, écrire et
prendre le temps."
"Elle
aime passer du temps à discuter et les moments de silence. Nous avons
parlé de littérature, de son fils, de sa vie, de son intimité. Une fois
que l'on commence à la connaître, elle s'ouvre. Elle m'a montré le quartier où elle habite, son restaurant préféré, explique-t-il encore. J'ai
même eu la chance de voir l'endroit où elle écrit, dans un tout petit
studio qui est caché. Il faut savoir qu'elle est une vraie star en Corée
du Sud et elle ne veut pas du tout que le monde puisse affluer pour la
rencontrer."
Quant à son rapport à la France, où elle est venue deux fois, notamment pour son prix Médicis : "Elle
a été très impressionnée et agréablement surprise de voir tout
l'engouement qu'il pouvait y avoir pour son livre, à la fois dans une
partie de la communauté coréenne de Paris, avec beaucoup de journalistes
sud coréens basés à Paris venus l'interviewer, et plus généralement,
notamment chez les plus jeunes , avec un intérêt pour la culture et la
littérature coréennes".
Notre Club de Lecture "Des Livres émois " invite à venir flâner au cœur de Forest dans un lieu stimulant, solidaire, en phase avec nos valeurs et nos objectifs : la Librairie Par Chemins, une petite librairie associative située rue Berthelot 116 à Forest . Animée
par des membres bénévoles, elle propose une sélection de livres neufs
et d’occasion, parmi lesquels nous nous réjouissons de nous réunir un
dimanche par mois :
Dimanche 19 octobre 17h à 18h30
Le
Club c’est l'occasion de nouvelles rencontres car c'est un moment de
partage avec toutes et tous, à tout âge, de 17h -18H30 pour échanger,
partager ou découvrir ses coups de cœur littéraires.
Chacun.e. choisit de présenter un livre, ou simplement d’écouter, suivant son envie du moment :
"Ecouter lire pour (se)découvrir, se laisser guider, s'orienter ou se perdre »
Entrée libre mais merci de confirmer votre présence!
En petit comité, ce dernier dimanche de septembre à la librairie "Par chemins", : échange et partage de suggestions de lectures essentielles de grande qualité :
Notre Club de Lecture " Des Livres émois " invite à venir flâner au cœur de Forest dans un lieu stimulant, solidaire, en phase avec nos valeurs et nos objectifs : la Librairie Par Chemins, une petite librairie associative située rue Berthelot 116 à Forest . Animée par des membres bénévoles, elle propose une sélection de livres neufs et d’occasion, parmi lesquels nous nous réjouissons de nous réunir un dimanche par mois
:
Dimanche 28 septembre 17h à 18h30
Le Club c’est l'occasion de nouvelles rencontres car c'est un moment de partage avec toutes et tous, à tout âge, de 17h -18H30 pour échanger, partager ou découvrir ses coups de cœur littéraires.
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Anne Garréta, romancière, lauréate du Prix Médicis 2002 et oulipienne, nous reçoit chez elle et nous fait visiter sa bibliothèque. On y navigue entre les siècles, de Madame de Lafayette à George Sand, en passant par Rousseau, Flaubert, ou encore Laure Murat et Christine Angot.
Avec
Anne Garréta, ecrivaine, membre de l’Oulipo, enseigne la littérature aux Etats-Unis ainsi qu’à l’université Rennes 2
En 2006, pour la bibliothèque oulipienne, Anne Garréta produit un court texte inspiré de Penser/Classer Georges Perec, paru 21 ans plus tôt. Elle y constate que la bibliothèque débordante de son couloir l'empêche d'atteindre la machine à laver le linge. Donc, elle imagine quelques principes de classement pour cette bibliothèque, réunis sous un nouveau titre Impenser/Déclasser, dont voici quelques exemples savoureux : "livres où l'on rencontre des baleines. Livres qui ne présentent pas la moindre petite baleine. Livres d'où ont disparu, on ne sait pourquoi, les baleines qu'on imaginait. Livres sensément érotiques qui vous ont laissé de marbre .Livres casaniers, livres nomades, livres dont on a parlé avec quelqu'un qu'on aimait ". Par conséquent, il faut chercher dans l'esprit d’Anne Garréta pour trouver un livre dans sa bibliothèque, mais, elle, elle sait parfaitement où tout se trouve. De passage à Paris, elle nous accueille dans un endroit rempli de livres, à l’exception d’une pièce qui abrite de quoi faire de la musique. Son roman Sphinx reparaît dans la collection L'imaginaire de Gallimard 40 ans après qu'elle l'a écrit. C'est un texte marquant sur le désir, l'amour, le manque, la passion, la danse, la transe, l'écriture, dans lequel aucun des personnages n'est genré. Alors, suivons Anne Garréta dans le dédale de ses rayonnages, puis asseyons-nous pour découvrir les extraits qu’elle a choisis de partager avec nous, dans un tissage éloquent, précis et fourmillant d'échos au présent et d'échos tout court.
Nuit de l’Oulipo 2/2 (2/9) : Cinquante choses qu’il ne faut pas oublier de faire avant de mourir, par Georges Perec
Les Nuits de France Culture
Les Choix d'Anne Garréta
Madame de Lafayette, La princesse de Clèves (Flammarion)
"J’ai choisi ce texte Pour la finesse de l'analyse de ce qui détermine la conduite d'une femme de cette époque et qui n'est pas une analyse totalement abstraite. Cela touche à l'état du corps, à l'état de la santé, aux habitudes de vie de la princesse de Clèves. Madame de Clèves analyse avec une acuité parfaite les conditions dans lesquelles une femme peut éprouver de la passion dans une société de cour et les conséquences que cela peut entraîner." Anne Garréta
"La Princesse de Clèves" de Madame de La Fayette
Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (Flammarion)
"Ce qui m'a toujours frappée dans ce texte, c'est que Jean-Jacques Rousseau parle de l'animal spectateur et de l'animal souffrant. C’est animal, avant la raison, et avant l'humanité en tant qu'elle se sépare ou prétend se séparer de l'animalité. Cela signifie que, si on ne devait compter que sur le calcul rationnel et la ratiocination des intérêts, nous irions directement à la catastrophe. C’est ce que l'on voit tous les jours avec le capitalisme, dans sa forme contemporaine la plus achevée."
Flaubert et George Sand, Correspondance (Hachette/BNF)
"Plus le temps passe, plus j’apprécie par-dessus tout Flaubert et George Sand. La correspondance de Flaubert est incroyable. Cet homme sentait profondément les choses, et c'est son point de contact avec Georges Sand. Il n'est pas tombé, il n'a pas chu, dans la dessiccation idéologique de son époque. Il en est de même pour George Sand. Ils ont gardé leur vie et leur sensibilité à vif et ils ne se sont pas anesthésiés et desséchés dans la bêtise."
Laure Murat, Proust, roman familial (Robert Laffont)
"Je trouve que c’est un livre excellent, parfaitement érudit, qui nous dit beaucoup de choses sur Proust, mais également, qui qui articule la littérature à une expérience sensible, une expérience de vie. Laure Murat est issue d’une famille extrêmement conservatrice et aristocratique. Elle s’est totalement rebellée contre les normes et les attentes de cette société et de ce milieu. Pour s'en émanciper, mais aussi pour se consoler de la perte de ce confort, elle a trouvé dans Proust à la fois une arme, un secours et un extraordinaire outil d’analyse." "Proust est immense parce qu'il nous parle de notre faiblesse"
Christine Angot, L’inceste (Stock)>
"Ce livre de Christine Angot a beaucoup marqué les esprits et elle a pris cher pour avoir osé dire ce qu’elle y a écrit. Je pense que, s'il n'y avait pas eu ce livre, tout un tas d'autres n'auraient jamais été possibles." Anne Garréta
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Christine Angot, écrivaine et réalisatrice : "La caméra est une protection intérieure, non pas une arme"
Les Midis de Culture
Marie Darrieussecq, Truismes (P.O.L)
"
Ce livre de Marie Darrieussecq est extraordinaire. Avec une simplicité, une naïveté retorse confondante, elle nous explique que de devenir femme, c'est, grosso modo, être transformée en animal. Cela commence pour une raison très simple, il y a des conditions économiques et sociales précises, qui font que cette femme devient une truie par une nécessité qui n'est pas une nécessité allégorique abstraite." Anne Garréta
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Avec "Sexy", roman haletant destiné aux lecteurs adultes et adolescents, l'immense Joyce Carol Oates s’intéresse pour la première fois à la sexualité des garçons.
Portrait de la poétesse, romancière, nouvelliste, dramaturge et essayiste, Joyce Carol Oates en mai 1987
Dans la tête de Darren, Wahou, c’était plutôt bizarre ! Insupportable, même certains jours. Il se sentait comme chargé à bloc et prêt à exploser. Chaud. Dur, tendu. Et le motfucks’immisçait dans ses pensées comme un virus flottant qu’il ne pouvait contrôler. Il se demandait :Est-ce que ça va empirer ?
AvecSexy,roman fulgurant paru en 2005 aux États-Unis et en 2007 chezGallimard jeunesse,Joyce Carol Oatesentre dans la tête d’un garçon au moment charnière de l’adolescence.
Nageur de haut niveau, son personnage principal expose son corps athlétique aux regards et fascine son entourage. Mais loin de l’image charismatique qu’il donne, Darren est un jeune homme timide et mal dans sa peau. Aussi, lorsque l’un de ses enseignants lui manifeste un peu trop d’intérêt, il panique, craignant d’être perçu comme gay. Nous sommes dans une petite ville américaine où il ne fait pas bon d'être différent.
Comme souvent dans ses romans,Joyce Carol Oatess’intéresse à nos zones d’ombres et confronte"la part civilisée de l’homme à sa sauvagerie".
Avec Sexy, elle observe le mal-être adolescent, face au diktat de la virilité
Dans le miroir qu’elle nous tend,la violence n’est jamais que l’expression de nos peurs.
Poète, romancière et dramaturge, Joyce Carol Oates est née en 1938 dans un modeste milieu rural. Pour tromper son ennui, elle découvre la lecture et se lance à corps perdu dans l’écriture. Auteure d’une œuvre dense et puissante, elle ausculte livre après livre, la psyché américaine dans sa folie ordinaire.
Découvrons dès à présent ce roman palpitant destiné aux lecteurs adolescents comme aux adultes…
Cet atelier de lecture à voix haute s’adresse à toute personne qui aime lire et rendre actif ce plaisir : Lire à voix haute c’est donner vie aux mots, faire émerger le sens du texte, et transmettre l’envie de lire à l’auditoire . Le parcours invite à un itinéraire à travers la littérature d’ici et d’ailleurs, d’hier et d’aujourd’hui , en invitant à rencontrer des textes, des auteurs et des formes littéraires diverses. Dans un premier temps, nous récoltons ensemble des textes pour composer une lecture vivante sur un thème choisi . Ensuite vient le travail de mise en voix d’abord individuel puis collectif . Chaque session se finalise par une lecture publique (bibliothèque, librairie, Maison du Livre, Musée, Galerie d’art..) dans un lieu choisi en relation avec le sujet . Le cheminement proposé s'inscrit dans la continuité des précédents ateliers de Lecture à voix haute pour répondre au désir de certain.e.s de nourrir et développer leurs aptitudes mais aussi pour en inciter d’autres à venir les rejoindre pour découvrir ensemble une aventure de lecture vivante et collective
ATTENTION :, La réunion d’information préliminaire* est indispensable pour toutes personnes interessées à s'inscrire à cette prochaine session d'ateliers (Processus de travail, choix du thème, bibliographie, programme détaillé des séances, rencontre avec les participant.e.s ….) :
11 septembre 18h30 à 20 H30 *Cette séance est gratuite (et n’engage pas encore à poursuivre la session d’ateliers) mais merci d'y confirmer absolument votre présence
Quand ? jeudi 11septembre : réunion d’information préliminaire puis 11 jeudis + 1 vendredi 18h30 à 20h30 à partir du 11 septembre : 25/09 - 02/10 - 09/10 - 16/10 - 06/11- 13/11- 20/11- 27/11 04/12 - 11/12- 18/12 - Lecture publique 19/12 - Séance de Clôture : Bilan et perspectives
Où ?
Maison Des Enfants 'les Pouces -
' 12 , Rue du Compas 1070 Anderlecht
Metro Clémenceau - Gare du midi
Tarif :160 £ / 12 séances Public : à partir de 15 ans
Contact : Téléphone PAS MOI asbl : 0479 70 26 asblpasmoi@gmail.com