mercredi 25 octobre 2017

Petit bonheur du jour ....

Petit bonheur du jour :
Ricardo, un petit gars taciturne mais assidu de l'atelier de lecture créative, déboule du fond de la cour  avec son cartable bien serré contre lui. Il le dépose à mes pieds.
Il en extirpe un tout petit papier soigneusement plié.
D'un geste prompt et sans un mot, il me le tend :


lundi 23 octobre 2017

RENCONTRE avec Françoise Thiry ce mardi 31 octobre....


Mardi 31 octobre 19h
A l’ Espace Art Gallery

35 rue Lesbroussart

1050 Bruxelles



RENCONTRE avec 3 auteurs dont Francoise THIRY


« Sous le rideau, la petite valise brune »,
premier roman (autofiction) de Françoise Thiry,

dans la rentrée littéraire des éditions M.E.O. (livre

imprimé et livre numérique sous formats PFD et

ePub).

204 pages – Prix TTC : 17,00 €

ISBN : 978-2-8070-0131-2

L'ouvrage est disponible en librairie dès le 1er

septembre.

Il peut aussi être commandé chez

l’éditeur

(paiement par virement ou PayPal). M.E.




Françoise Thiry revient sur un des scandales liés à la colonisation.

Que sont devenus les enfants métis nés en Afrique ?

Plusieurs d’entre eux ont atterri en Europe pour être éduqués à la

manière des blancs. Un peu partout, ils ont été arrachés à leur

mère et placés par l’Eglise au sein de familles aimantes, sans se

soucier des troubles psychologiques qui risquent de les marquer

à jamais. En 1966, une fillette débarque à l’aéroport de Bruxelles

par un vol Sabena en provenance de Bujumbura, sans savoir que

son existence ne sera plus la même. Tout au long de ce roman, la

narratrice évoque ses parents adoptifs, ses errances dans une ville

qu’elle ne connaît pas et qui ressemble à une jungle peuplée de

gratte-ciels. Peu à peu, elle soulève le rideau et est amenée à se

positionner dans un monde qui n’est a priori pas le sien. Après le

temps de la crainte se dresse celui des interrogations. Que

fait-elle ici ? Reverra-t-elle sa vraie famille ? Ne risque-t-elle pas

d’oublier d’où elle vient ? Progressivement, elle se rend à l’évidence

que ses souvenirs s’estompent et que sa mémoire est

amputée d’une grosse part de son contenu. Contre toutes et tous,

elle décide de se battre contre l’oubli de ses racines, des siens, de

sa vie d’autrefois pour, qui sait et plus tard, retourner sur la terre

qui l’a vue naître et recoller les morceaux brisés de son passé.

Ecrit tantôt à la première et à la deuxième personne du singulier,

ce récit (autobiographique ou tamisé par le filtre de la fiction ?)

ne peut laisser indifférent. L’occasion de s’interroger sur des

pratiques ayant cours chez nous il n’y a pas si longtemps et qui,

sous le couvert d’actions charitables, ont encouragé la société à

commettre l’inacceptable.

Daniel Bastié, Bruxelles Culture



Réservation souhaitée

Tel : 0497 577 120

Eag.gallery@gmail.com

lundi 16 octobre 2017

L'atelier "Voix Vives " se déplace pour une soirée....


Belle rencontre émouvante avec CARIBAI et AKIRA MTSUBAYASHI ce jeudi ,à la librairie CFC ….avec tout de meme, un regret pour le micro qui crachote et rend difficile l' audition la première partie de la présentation.
C’est tellement mieux quand AKIRA nous lit , lui-memes, ses textes  à voix nue et qu’il nous donne  alors envie de nous plonger dans son nouveau roman… bien d’avantage que le contenu de la quatrième de couverture !

On avait découvert en 2011 Une langue venue d’ailleurs, livre magnifique où l’écrivain japonais déclarait son amour pour la langue française. Après Mélodie, chronique d’une passion, paru en 2013 et consacré au lien d’attachement indéfectible qui a uni l’auteur à sa chienne Mélodie, Akira Mizubayashi, qui a aujourd’hui 65 ans, ans, revient avec ce roman d’inspiration autobiographique, qui suscite des critiques très élogieuses.
Il y a une simplicité, une évidence dans l’écriture d’Akira Mizubayashi. Une manière hautement sensible et subtile d’évoquer les liens qui unissent les hommes et les femmes, qu’ils soient ou non en présence l’un de l’autre. On a rarement aussi bien parlé du trouble que provoque la musique, de ceux qui la jouent et de ceux qui la reçoivent. Il faut prendre le temps de découvrir un texte de toute beauté qui se savoure et laisse une trace indélébile.
Lire – Alexandre Fillon

Un amour de Mille-Ans, Gallimard, 2017


dimanche 8 octobre 2017

Atelier de Lecture Vivante au "Compas" tous les vendredis...

Chaque vendredi de 16h à 17h30 :
Une atelier de lecture créative qui éveille l’envie et le plaisir de lire chez les enfants,  stimule leur imaginaire et  leur élan  pour aller au delà des apparences.
Les lectures visent à les familiariser avec le livre en tant qu’objet, instrument de culture ou de jeu poétique.
On y apprend à rompre avec les habitudes :  vivre  ensemble le plaisir de lire autrement, le livre existe en dehors de l’école.
On y apprend à (se) poser des questions qui n’ont pas forcément de réponse ou qui en ont plusieurs.
On y lit  aussi avec les oreilles : les histoires sont lues par des artistes de la parole.On y pratique des jeux qui font appel à l’imaginaire , favorisent l’écoute et l’expression libre des sensations, des émotions,  des opinions différentes.











mercredi 4 octobre 2017

Des nouvelles de l'Atelier " Ecriture et Oralité".........à suivre...



Le 14 octobre prochain à 20h30 au Club House à Grimbergen aura lieu le concert " Blues Genèse"par le VAYU QUARTET !
A ne pas manquer d' écouter  en avant-goût un extrait de ce concert : l'enregistrement de" FATOUCHE" d'Anne Fievez  ..... que vous avez peut-être rencontré cet été, à la Maison du Livre, à l'atelier " Ecriture et oralité" ....

Un enregistrement de "Fatouche" (voix et guitare) :

https://soundcloud.com/anne-fievez/fatoche






mardi 3 octobre 2017

Le "COMPAS"....belle journée d'inauguration ce mercredi dernier

De joyeux moments scintillants de créativité et de convivialité ce mercredi 27 septembre au "COMPAS"!
A partir de cette premiére semaine d'octobre ,  l'asbl Pas Moi  y animera un atelier de Lecture créative tous les vendredis ...