Pour notre rendez vous hebdomadaire de ce mercredi 27 mai de 14h à 16h 30 :
"Tous ensemble , chacun chez soi "
1 - : (à regarder)
https://www.rtbf.be/auvio/detail_ceux-que-j-ai-rencontres-ne-m-ont-peut-etre-pas-vu?id=2613925
https://www.rtbf.be/auvio/detail_ceux-que-j-ai-rencontres-ne-m-ont-peut-etre-pas-vu?id=2613925
A travers le vécu d’une jeune femme, à l’image de tant d’autres, qui un jour a tout quitté pour rejoindre l’Eldorado Europe, le spectacle nous fait vivre la traversée de ces êtres privés du droit de vivre. Quelle humanité reste-t-il sur notre continent en matière de politique migratoire ?
Plutôt que de sortir les violons, le Nimis Groupe décortique avec piquant les rouages d’entrée sur le territoire, et le rire se fait jaune à l’écoute du discours des dirigeants qui nous éclaire sur les véritables enjeux économiques de l’Europe… Porté par une énergie collective qui flirte avec le surréalisme de situations pourtant vécues, un spectacle incisif qui replace l’humain au centre du débat !
https://www.franceculture.fr/emissions/latelier-fiction/la-piscine
Yôko Ogawa compte parmi les plus grands écrivains japonais contemporains. Son œuvre, tout entière, est traversée par une "inquiétante étrangeté", où un univers se déploie entre rêve et cauchemar, entre réel et fantasmes, entre souvenirs et regrets, entre obsession des traces, du classement et menace de l'effacement, un univers où seule la musique semble permettre d'atteindre une certaine harmonie : la musique, mais aussi les sons, les bruits, sont des éléments à quoi s'accrochent les personnages; la musique et les sons, qui davantage que les mots, unissent le passé et le présent, les désirs et les expériences de la perte, abolissent les limites entre le bien et le mal, la douleur et le plaisir. Et l'écriture elle-même de Yôko Ogawa, minimale, concise, poétique, apparaît alors comme la partition, la trace d'une composition plus vaste, musicale et sonore.
« La piscine » est l’histoire d’Aya-chan, une jeune lycéenne qui habite dans un institut accueillant des enfants orphelins, abandonnés ou mal traités.
Ses parents sont les dirigeants de l’institut. Elle se sent délaissée par ses parents qui s’intéressent aux autres enfants. Cette souffrance la replie peu à peu sur son monde intérieur. Dans celui-ci, il n’y a de la place que pour deux sensations délicieuses ; observer le corps musclé de Jun, un jeune pensionnaire de l’institut, lorsqu’il plonge à la piscine et éprouver de la jouissance à faire souffrir une jeune enfant.
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